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Deuxième étude annuelle de Placements Mackenzie sur la retraite : Trois quarts des Canadiens cherchent des conseils pour les aider à naviguer la « nouvelle réalité en matière de retraite »

Selon Le point sur la réalité en matière de retraite de Mackenzie, les travailleurs canadiens s’attendent à prendre leur retraite plus tard et à devoir disposer d’une épargne nettement plus importante que celle des retraités actuels.

– Placements Mackenzie a publié aujourd’hui sa deuxième étude annuelle sur la retraite, Le point sur la réalité en matière de retraite de Mackenzie 2020. Les résultats de cette étude démontrent que les travailleurs canadiens devront faire face à une nouvelle réalité en matière de retraite comparativement à leurs parents et grands-parents. Par ailleurs, ils recherchent davantage d’informations et de soutien du secteur des services financiers sur la façon d’effectuer efficacement la transition vers la retraite.  L’étude, réalisée par Pollara Strategic Insights, a révélé d’importantes différences quant à la dynamique de la retraite des travailleurs canadiens et ceux qui sont déjà à la retraite : Les travailleurs canadiens s’attendent à prendre leur retraite à un âge moyen de 62 ans (l’âge moyen de la retraite était de 57 ans pour ceux déjà à la retraite). Ils estiment qu’ils auront besoin d’épargner plus du double pour la retraite (878 000 $) comparativement aux retraités actuels (lesquels estiment avoir eu en moyenne 427 000 $ en épargne au moment de leur retraite). Près de la moitié de ceux qui ne sont pas encore à la retraite (45 pour cent) prévoient continuer de travailler dans une certaine mesure (contre seulement 9 pour cent de ceux qui sont déjà à la retraite). Les non retraités ont également des attentes plus élevées quant à leur mode de vie idéal à la retraite, 76 pour cent prévoyant beaucoup voyager (contre 44 pour cent des retraités). Par ailleurs, 51 pour cent de ceux qui ne sont pas actuellement à la retraite ont exprimé le désir de participer à des initiatives philanthropiques (contre 33 pour cent des retraités). Le déclin relatif des régimes de retraite à prestations déterminées, l’allongement de l’espérance de vie, les faibles rendements, la complexité croissante des marchés financiers et l’augmentation du coût de la vie, notamment du logement et des soins de santé, contribuent également à la dynamique changeante de la retraite.

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